Célébrités du cannabis
Dabbing granny : une grand mère qui tient mieux la weed que toi
Vous l’avez peut-être déjà croisée sur Instagram ou sur Facebook, cette grand-mère défraye la chronique en se tapant des dabs qui t’auraient déjà fait recracher tes poumons. Son nom est Gail Olson, mais elle surtout connue sous le pseudonyme « Dabbing Granny« .
La grand-mère de tes rêves
Elle est devenue une véritable petite starlette des amateurs de cannabis sur Instagram et comptabilise déjà plus d’un million d’abonnés. Dans la vidéo qui l’a rendue célèbre, on la voit enchaîner un dab, un shot, un bong et une pinte puis recracher la fumée. De quoi forcer le respect en effet mais, outre ses capacités hors du commun, c’est surtout un personnage haut en couleur. Non seulement elle dab comme personne, mais en plus elle fait le show, avec fun et un look bien à elle. En témoigne ce charmant petit costume de Marge Simpson dans lequel elle s’enchaîne un dab dans un dabber en forme de dragon féerique puis une douille, tout ça sous les yeux de la police :
Mélange de paillettes, de licornes et d’éléments plus streetwear, Dabbing Granny a un style bien à elle et son excentricité se retrouve dans ses accessoires. Ses dabbers et ses bongs, tous plus loufoques les uns que les autres, retiennent l’attention. Il y a en de toutes les formes et de toutes les couleurs. Outre le dragon on compte des pieuvres, des crânes, des aliens, des éléphants, certains ressemblent à de véritables laboratoires ambulants. Bref, vous l’aurez compris cette grand mère là ne manque pas d’inventivité !
Et de poumons non plus. Elle se mettrait 4g de dab par jour et 3,5g de weed. De quoi faire tourner la tête à plus d’un consommateur endurci.
A chacune de ses vidéos, elle ne manque toutefois pas d’apporter une note d’humour et de faire passer des messages positifs d’amour et de respect. « Nous [les consommateurs de cannabis] sommes une famille. Une famille de marginaux. J’embrasse ma bizarrerie et mon étrangeté », a-t-elle déclaré. Elle est devenue militante lorsqu’elle a remarqué que le cannabis aidait son mari avec sa dépendance aux opioïdes. « Je resterai toujours humble parce que je ne sais pas ce que je fais d’autre que d’essayer d’offrir de l’éducation. Nous voulons éduquer et soigner » explique-t-elle à LeafBuyer.
La grand-mère parfaite ?